Au cours d’un séjour en 2010 à Madagascar, dans l’archipel de Nosy Be, nous avons rencontré une population courageuse et fière qui avait seule en mains ses moyens d’existence.
Celle-ci ne paraissait toutefois pas encore trop concernée par les questions sanitaires et d’environnement, ce qui nous semblait devoir être une préoccupation importante en raison de l’accroissement exponentiel de la population.
Nous sommes allés dans des écoles où nous avons été touchés quand les enfants se mettaient aussitôt à nous chanter « Frère Jacques » et « Sur le pont d’Avignon ». (Avignon, c’est justement de là qu’on vient !). Mais ils chantaient phonétiquement ne comprenant pas les paroles alors même que l’enseignement était en Français.
C’est alors qu’ASSADEM a été créée.
Sans projet particulier nous envisagions pour commencer des opérations au cas par cas. – Nous avions déjà participé à titre personnel à la création d’un bâtiment sanitaire, au paiement de frais de scolarité pour une élève méritante à l’école française -.